Le Corse n’est pas français, il est corse.
Le B-a-BA pour le reconnaître, c’est bien sûr sa nationalité.
Le Corse est complètement mégalomane.
Avoir engendré un petit homme qui a dominé l’Europe a rendu les Corses un poil mégalo.
Quoi que vous leur disiez, on ne sait pas comment, ils arrivent toujours à rapporter votre conversation à la Corse.
Daech, la Syrie ?
Tout pareil, ils vivent même des heures plus sombres que nous avec le FNLC.
Le Corse mange du fromage avec des vers.
C’est là que vous ferez très vite la différence entre le vrai Corse et le faux Corse : sur l’île de Beauté, on n’a pas peur des petits vers qui fermentent le fromage.
Il n’aime pas beaucoup les touristes.
Et parfois il fait même exploser sa maison, surtout quand elle entache le paysage.
Il vit sur la plus belle île du monde.
Et sur ce point là, on ira pas le contredire.
La justice , le Corse préfère la faire lui-même.
Et de façon expéditive ! Les procès et les magistrats, c’est bon pour la métropole.
Tout Corse qui se respecte aime Pascal Paoli.
U Babu di a Patria.
La Corse a un drapeau qui claque.
Et tout le monde peut être jaloux, car personne ne peut se targuer d’avoir une tête de Maure, bandée comme un pirate pour emblème national.
Un drapeau de pirates pour une région insoumise, ah la Corse . . .
Le Corse préfère la montagne au bord de mer.
Pourquoi ?
Parce que c’est bien le seul endroit où il ne risque pas de te croiser, petit « pinzutu » imbécile !
(Comprenez chapeau pointu = envahisseur)
Le Corse est très susceptible.
Vous en voulez la preuve ?
Le seul album d’Astérix où l’on a jugé nécessaire d’écrire un avertissement est » Astérix en Corse » !
Susceptible et frappé d’un syndrome de persécution, il vaut mieux ne pas trop emmerder le Corse . . . si vous tenez à votre villa, du moins.
Source : .petitsfrenchies.com par
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