LA FRANCE INTERDITE.
LA FRANCE INTERDITE.
 

➤ Les toutes premières pages de La France Interdite, de Laurent Obertone, actuellement en librairie :

L'immigration est un sujet qui tombe fatalement sous la coupe des principes et des émotions.

Soit on y est tout à fait favorable, et il faut accueillir les migrants à l'infini, soit on y est tout à fait défavorable, et il faut les rejeter tous à la mer.

C'est un sujet sans milieu, interdit, dangereux, objet de tous les scandales et de tous les chantages, sans aucun doute le plus difficile à aborder dans l'Europe contemporaine.

Il est impossible d'assister à un « débat » ou même d'avoir une discussion sur l'immigration qui ne se résume à un concours d'anathèmes, de menaces, de calculs et d'intimidations indignées.

Ce sujet sous-tend à peu près tous les autres.

Il est le gigantesque angle mort d'un empire à la dérive, de ses problèmes sociaux, de sa stagnation économique, de son malaise identitaire.

La véritable raison du scandale de La France Orange Mécanique, mon premier livre sur l'insécurité, est d'avoir évoqué la criminalité des individus issus de l'immigration.

La véritable obsession de ce Big Brother, ce gigantesque magistère des âmes qui conditionne le Français à bien penser, est l'immigration.

La véritable raison de la fragmentation sociale, des votes « protestataires », de ce climat de guerre civile que nous connaissons, est l'immigration.

Sa dynamique – exponentielle – est encore taboue.

Le bouleversement qu'elle génère est tout à fait sous-estimé, ignoré, dénié.

Il est temps d'en déterminer les causes, d'en analyser les conséquences, d'expliquer largement le puissant interdit dont elle fait l'objet, et de rendre au Français, souverain, la maîtrise de sa pensée, et le plein empire de son destin.

Il est temps de se rallier à l'objectivité.

De Cro-Magnon jusqu'au siècle dernier, c'est-à-dire pendant au moins 45 000 ans, la proportion d'individus aux origines eurasiennes établis sur ce qui correspond à l'actuel territoire français n'est jamais descendue sous les 99,9 % de la population.

Invasions comprises.

De la fin du XXe siècle à nos jours, soit en à peine 40 ans, et malgré un pic record de la population autochtone, la proportion extra-eurasienne s'est brusquement et considérablement accrue en France, allant jusqu'à se multiplier par 200.

Un phénomène comparable s'observe dans toute l'Europe occidentale.

Les projections démographiques les plus prudentes estiment que cette immigration extra-eurasienne va se poursuivre et se développer prodigieusement, et que la proportion d'individus qui en sont issus atteindra, d'ici les deux tiers de ce siècle, c'est-à-dire en un éclair sur l'histoire de l'humanité, la majorité absolue.

Les Européens autochtones seront donc, d'ici moins de cinquante ans, minoritaires sur leur propre sol.

Voilà les faits.

Sans haine et sans crainte, loin des passions et des pressions, à l'abri des partis, des dogmes et des interdits, je me propose de les examiner méthodiquement, et de comprendre pourquoi cette immigration continue d'avoir lieu, contre l'opinion.

Il est temps de nous demander pourquoi ce sujet est si brûlant, et pourquoi il semble au citoyen qu'il échappe totalement à sa souveraineté, et qu'ainsi on l'a totalement dépouillé de son pays, et radicalement privé de son avenir.

D'ordinaire, les grands médias choisissent ce qui fait débat, et décident de ce qui est événement.

Ils estiment donc que quantité de faits ne méritent pas de devenir information.

Je me propose, comme le disait Roland Barthes, de « remanier la grille des intensités ».

J'estime, pour ma part, que l'immigration est l'événement par excellence.

Elle est l'information la plus importante de notre siècle, et sera bientôt la plus intense.

Ces prochaines années, le « vivre ensemble » va cristalliser l'ensemble des attentions, des inquiétudes, des passions, des manipulations, des espoirs et des tensions.

Rien ne serait plus dangereux que la persistance de l'interdit.

Rien n'a plus d'importance que la nécessité de le briser.

Le temps de la prudence et des calculs est passé.

Aucune peur ne mérite plus notre consentement.

Seule la vérité doit nous vacciner à jamais des dangers de l'utopie.

L'histoire de l'humanité nous a offert un enseignement précieux : la vérité ne doit jamais se soucier des lois de son temps, de sa morale comme de ses mœurs.

Aucun interdit n'a jamais résisté à la force d'une parole libre, juste et sensée.

Sur l'immigration aussi, et sur l'immigration surtout, la vérité doit être dite.

Il est temps de briser le consensus du silence.

Plus le sujet est grave, moins l'on peut s'offrir le luxe des mensonges, le loisir de l'espoir et le confort de l'ignorance.

Les clercs doivent cesser de trahir.

Quel qu'en soit le prix.

Mieux vaut se charger de la vérité et risquer le bûcher des hérétiques, qu'abandonner la partie aux dogmatiques, que laisser le jeu des passions sceller notre sort.

Je n'ai qu'une requête à formuler : ne croyez rien de ce qu'on vous dira de ce livre.

Lisez-le.

Laurent Obertone.

Ring éditeur.

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