La Terre de mes ancêtres m'est chère ; Pays ancien où les bergers sont honorés et libres; Les guerriers si nobles et si vaillants Donnent leur sang et leur vie pour la Liberté. O mon foyer, je te suis fidèle, Alors que les mers protègent la pureté de mon pays, Puisse être éternelle, ma langue ancienne. Vieux pays de montagnes, refuge des bergers, Chaque gorge, chaque vallée conserve son charme; Pour l'amour de mon pays, des voix clameront avec enchantement Pour moi, ses torrents, ses rivières. Bien que les ennemis aient foulé au pied ma patrie, A Lingua nustrala ne connaît maintenant aucun repli; La Muse n'est pas vaincue par la main cruelle des traitres, Ni réduite au silence, a cetera de mon pays.

Texte Augustin Chiodetti inspiré de l'hymne gallois.

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