TORA SANTA MARIA.

Près de la mer, sur le rivage, debout sur un roc solitaire, la vieille tour en ruine a perdue sa prestance et sa beauté. Penchée sur les flots écumeux elle traîne sur l'eau son ombre, et lorsque la houle vient frapper en cadence les grands rochers elle sent, sous ses pieds la terre qui frissonne. Avec les doux zéphyrs s'envole sa liberté, sa beauté et sa force, la terre l'abandonne, elle s'écroule lentement ravagée par le temps dans une longue agonie.

Texte : Orchidée Ajaccio. Photo : Armandu Anam Cara Francesetti

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